ÉCONOMIE: LE SECTEUR TOURISME :UNE SOLUTION POUR LE GABON

 L’économie du Gabon repose largement sur l’extraction et l’exportation de matières premières, principalement le pétrole. Pour assurer une amélioration durable de l’économie gabonaise, une diversification est impérative. 

L'écotourisme offre un potentiel important pour le Gabon et pourrait véritablement aider à remédier à certains de ses enjeux financiers. Le pays détient un patrimoine naturel remarquable, avec une biodiversité abondante et des écosystèmes diversifiés, tels que des forêts tropicales, des mangroves, des savanes et des zones côtières. Cette richesse naturelle représente un avantage essentiel pour la mise en place d'un tourisme durable et éco-responsable.

                                                        

Le tourisme demeure un domaine encore peu valorisé dans l’économie gabonaise, mais il possède néanmoins des atouts pour devenir un secteur clé de l’économie. Lorsqu'il est rigoureusement planifié et administré, l'écotourisme peut représenter une source significative de bénéfices économiques, tant pour le gouvernement que pour les entrepreneurs privés et les collectivités locales. De plus, il constitue un outil efficace pour la protection du patrimoine naturel et culturel. Ce secteur offre l'avantage de créer des emplois, contribuant ainsi à la lutte contre le chômage, tout en soutenant le budget de l'État. 

L'Ecotourisme en ce temps de transition et pour les années avenir serai une porte d'ouverture pour combler les déficit budgétaire. 

 Comment l'écotourisme peut-il créer des revenus au Gabon tout en offrant des emplois aux personnes sans travail ?

Création d'emplois et d'entreprises locales : L'écotourisme soutient l'essor d'activités économiques locales (hébergements, restaurants, guides, artisanat, etc. ), engendrant des revenus pour les communautés et des recettes fiscales pour l'État.

                            

                                                                            

Plats Punu

Poulet fumé au Nyémbué

L’hébergement touristique constitue un élément clé pour fortifier le budget du Gabon grâce à l’industrie touristique. Un secteur d’hébergement efficace et varié attire davantage de visiteurs, prolonge leur durée de séjour et engendre des bénéfices pour l’État et les acteurs locaux.

Le domaine de l'hébergement crée un grand nombre d'emplois directs (accueil, restauration, nettoyage, cuisine) et indirects (fournisseurs, artisans, livreurs). Ces postes soutiennent l'économie du pays et les revenus fiscaux grâce aux contributions sociales et à l'impôt sur le revenu.

Des établissements de luxe séduisent une clientèle fortunée, investissant plus dans leur hébergement ainsi que dans des activités annexes, ce qui engendre des revenus considérables. Le tourisme communautaire et l'hébergement chez l'habitant offrent aux voyageurs une plongée culturelle et rapportent des bénéfices directement aux communautés locales.

                

Intelligence Artificielle : Un enjeux important pour L'Afrique ou une ruine pour le continent ?

 

                              Selon Vladmir Poutine " celui qui dominera l'IA, dominera le monde, dominera le XXIème siècle" 

Aujourd'hui le monde connait une avancée exponentielle dans le domaine de la Technologie.  L'intelligences artificielle est devenu un signe de domination pour plusieurs états. Ce pont de l'informatique est encore peut éclairer en Afrique. 

Plusieurs données ont prouvé que l'Afrique ou encore les pays qui la compose ne sont pas tous encrer dans l'innovation technologique appelé Intelligence Artificielle . Des pays comme la Côte d'Ivoire ou encore le Sénégal ont déjà prit un pat d'avance sur  l'enjeu de se domaine Technologique.  Mais la réelle question est de savoir comment faire adopter ce pat aux autres nations qui sont déjà en retard au niveau mondial mais aussi au niveau du continent s'agissent des innovations dans le domaine du Numérique. 

Entre autre, quelles sont les atouts que disposent l'Afrique pour investir sur le domaine de l'intelligence Artificielle ? 

Pour maximiser les bénéfices de l'IA, il est crucial pour les pays Africains d'investir dans l'éducation, l'infrastructure de santé, l'agriculture, la  botanique…

En effet, l'Afrique est un continent qui aujourd'hui connait de nombreuses difficultés dans les domaines cités. Mais ces maux peuvent être un atout si les différents gouvernements optent pour faire de ces faiblesses que les pays occidentaux ne connaissent plus, leurs objectifs dans l'investiture en matière d'intelligence artificielle. 

L'Éducation 

Nelson Mandela disait: « L'éducation est l'arme la plus puissante que l'on puisse utiliser pour changer le monde »

Les sondages ont montré que le continent Africain est celui dont le taux d'analphabétisation est le plus haut du globe. Pour palier à ce problème qui gong raine les pays Africains, un investissement sur des données en Intelligence Artificielle pour essayer de réduire ou même de changer les statistiques au niveau de l'éducation de la jeunesse. Les programmes scolaires pour encourager les jeunes à créer des logiciels permettant de mieux faire des recherche pour la jeunesse scientifique. Des logiciels comme ChatGpt, My AI (dans l'application Snapchat) permettent aux jeunes, étudiants, chercheurs de pouvoir nourrir leurs coïtent intellectuel. Permettre à nos jeunes développeurs Africains de créer de tels logiciels permettant d'apprendre des choses, en rapport avec leurs études ou leurs cultures, permettra de mouvoir les connaissances de cette jeunesse et apporter un nouvelle élan à idée faite de l'éducation et même de la recherche en Afrique. 

La Botanique

L'Afrique et ces différentes zones tropicales sont un atout pour les amoureux de la botanique. Le but de l'IA en Afrique ne serai pas d'imité les démarches entreprissent  par les grands noms de l'Intelligence Artificielle  dans le monde, mais plus tôt, de se fier à ces avantages pour monter quelle est capable de faire face à des pays comme la Chine ou les Etats-Unis en matière d'innovation. Il est vrai que la Plateforme PLANTNET est une plateforme Européen mais avec les atouts que dispose l'Afrique Tropicale les chercheurs pourraient trouver une idée meilleur que celle de plantnet en mettant en place une IA qui illustre les vertus des plantes ou une écorce  et comment on peut les utiliser en cas de besoins. Cette idée associera la Botanique et la médecine traditionnelle. Et oui, le brassage entre la culture Africaine et l'innovation Technologique se fait ressentir de vive voix.

L'Agriculture

 L'AGRA (Alliance pour une révolution verte en Afrique), une organisation dirigée par des Africains qui cherche à catalyser la transformation de l'agriculture sur le continent grâce à l'innovation. Utiliser des systèmes de codage de l'intelligence artificielle pour améliorer la production agricole ne peut être pour les africains un moyenne d'atteindre une suffisance alimentaire. Il est déjà prouvé que l'agriculture africaine est en passe de devenir plus efficace, plus inclusive et plus durable, il suffira juste de garder les produits à l'état naturel, d'appliquer les recommandations des professionnels et de suivre les consignes de la révolution 2.0 en la matière. 

 La Santé: 

En radiologie, en dermatologie, ou encore en ophtalmologie, l’IA permet de détecter des maladies invisibles à l’œil nu et d’établir des prévisions. Elle peut aussi aider à adapter et à personnaliser les traitements.

  

L’émergence des systèmes d’intelligence artificielle (IA) représente une révolution dans le domaine médical. Les personnels de santé y ont de plus en plus recours pour affiner leurs diagnostics et prendre des décisions thérapeutiques. Avec un système d'analyse peux fiable des symptômes de certaines maladies, la médecine Africaine pourrai aujourd'hui compter sur une déduction à 97,06% grâce à l'IA. Cette technologie est aujourd'hui utilisée   par de nombreux médecins dans le monde. On pourrait même croire que l'IA a prit la place du personnel médical en matière diagnostics et prise de décisions thérapeutiques

Mais les questions sur l'utilisation de cet outil demeurent:  Jusqu’où peut-on lui faire confiance ? Peut-elle remplacer l’expertise humaine ? 

L'interculturalité et les réseaux sociaux au Gabon.

 

La diversité culturelle constitue la réponse appropriée à l'aspiration des peuples à se développer dans un environnement où toutes les cultures peuvent s'épanouir. Cette pensée aujourd’hui permettrai de faire connaitre les nombreuses cultures qui existent dans une région. Le Gabon est un pays d’Afrique centrale qui est doté d’une grande richesse culturelle grâce à sa cinquantaine d’ethnies. Depuis la fin des années quatre-vingt, la mondialisation et l’internationalisation entraînent un usage de plus en plus fréquent par les personnes des technologies de l’information (TIC) dans leurs processus de communication ou même pour faire passer une information. Quel serai les conséquences de l’usage des NTIC sur les différentes relations entre les différentes cultures que constitue le Gabon ?

Les enjeux de la diversité culturelle dans l’organisation

Cohen-Emerique (2016) explique ceci : « C’est le choc culturel qui a permis la prise de conscience de sa propre culture. Le heurt avec la culture de l’autre, en ce qui y paraît le plus déroutant et le plus étrange, joue comme révélateur : de sa propre culture intériorisée, et des zones les plus critiques dans la rencontre. Il s’agit d’un choc culturel au niveau individuel, en tant que réaction de dépaysement, d’incompréhension ; plus encore, de frustration ou de rejet, de révolte et d’anxiété – ou au contraire d’étonnement positif voire admiratif chose faite. » Elle explique que le choc culturel est révélateur « … de son propre enracinement culturel. Par cette méthode, la connaissance de l’autre passe d’abord par la connaissance de soi, l’apport d’informations ou le questionnement sur la culture de l’autre ne venant qu’après ». En ce sens, l’utilisations des réseaux sociaux pourrai d’une part avoir des effets positifs sur les relations interculturelles et d’autres part, promouvoir le communautarisme culturel.

Réseaux sociaux et Positivisme interculturel

Comme la plupart des États d'Afrique subsaharienne, le Gabon est un pays multilinguistique. On compte près d'une cinquantaine de langues au Gabon, mais seul le fang, parlé par (32 %) de la population (province de l'Estuaire) constitue une langue importante, et le Punu (22%). Avec des artistes comme Alexis ABESSOLO et son titre d’où l’on vient, et l’artiste Annie Flore avec son clip intitulé Je t’invite ont su mettre en valeur la culture Gabonaise par leurs musiques qui sont disponibles sur des plateformes comme Youtube, Tubidy et autre plateformes. De grandes idées peuvent être transmises d’une culture à une autre par la musique ou un autre art culturel. La danse, le chant, la mythologie et la poésie sont des éléments importants de la vie culturelle au Gabon. L'artisanat traditionnel est une tradition ancienne et se manifeste dans la création de masques (le masque Punu premier masque traditionnel Gabonais.), d'instruments de musique et de sculptures. 

La capitale Gabonaise abritera, du 27 au 29 novembre prochain (2024), les premières journées académiques et culturelles Gabon-Cuba. Une initiative de l'Ecole normale supérieure (ENS), en collaboration avec l'ambassade de Cuba à Libreville et d'autres partenaires, qui fignolent actuellement l'organisation. L'évènement sera marqué par la présence d'une invitée d'honneur, la poétesse afro-cubaine de 80 ans, Nancy Morejon, lauréate de nombreux prix internationaux de littérature et fervente défenseuse des droits de la femme et de l'émancipation de la femme noire. Un moyen de cohésion mise en place par le CTRI pour les amoureux et non amoureux de cultures.

 #Gabon-Cuba.

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NOVEMBRE NUMERIQUE: Tourner le regard de la jeunesse de l'Afrique centrale vers les bonnes pratiques du digital

 

 

Qu'est serai le réel enjeux du DIGITAL pour la jeunesse de nos pays respectifs ? Est-ce juste de faire passer le rire ou la dépravation des meurs par le digitale ou l'enjeux du digitale serai t-il d'accompagner la compagne électorale comme le font les bloggeurs aux USA?

Le secteur numérique est l’un des secteurs dont la jeunesse africaine notamment celle d’Afrique centrale n’a pas totalement cernée les contours . Il est vrai qu’aujourd’hui des plateformes comme Tiktok , le meta servent à plusieurs jeune et représentent un champ d’opportunités laissant libre recours à l’expression du talent mais aussi de la bêtise juvénile.

Nous ne jugeons pas la jeunesse de ne pas vouloir adopter des bonnes pratiques en matière du digitale. Le problème est que beaucoup font aujourd'hui du marketing digital sans pourtant avoir des bonnes notions permettant de rendre plus plaisant le rendu. 

Oui! Il est vrai que beaucoup de jeunes on prit les avantages de l'outil digitale comme un moyen de se faire connaitre par rapport au domaine qu'ils exercent mais il en résulte des analyses que plusieurs ne vont pas au bout de chaque nouvelle expérience que présente Internet.  Il est rare de voir des jeunes qui veulent améliorer leurs expérience digitale . On se contente juste de ce qui nous intéresse sur la toile. " je suis un peux sauvage " disait l'artiste chanteuse CREOLE. Le nombre de fois que cette parole a été reprise par les followers serai si l'on peux penser ainsi comme une incitation de tous à la dépravation des meurs 

Incité la jeunesse à la culture du numérique c'est d'abord leurs incités à avoir des bonnes pratiques en matière de réseaux sociaux et autres. En d'autres termes, c'est mettre des barrières à ce qui ne fait pas l'Etique de nos sociétés ou de mon environnement

 Le Gabon est aujourd’hui, le 6ème pays le plus performant d’Afrique dans le secteur des TIC et le 1er de la sous-région. Au cœur du Plan Stratégique Gabon Emergent (PSGE), visant à faire du Gabon un leader africain en digitalisation d’ici 2025, le numérique a fait l’objet d’un certain nombre de mesures qui apportent leurs fruits aujourd’hui. Parmi lesquelles la création de l’ARCEP et l’ANINF, la mise à jour des infrastructures dont 1 100 km de fibre optique déployée et un prêt de 110 millions de dollars de la Banque Mondiale, le projet CAB4 financé par la Banque Mondiale et la BAD. De mêmes, les initiatives comme e-Gabon, la SING, et le programme « Train my generation : Gabon 5 000 » ont également vu le jour pour soutenir la transition digitale. Laquelle s’accélère c’est un fait.

#gabon digitale

#moovafricagabon 

#ndambovision

#urbanfm

#gabon24

Gabon: la numérisation des médias traditionnels, un défi du CTRI aujourd'hui

 Tourner le regard ers une digitalisation des médias est un défi dans tout les états aujourd'hui. Promouvoir une bonne visibilité de plus de 156 médias qui existent sur le territoire, c'est l'enjeux du gouvernement de la transition. De l'intérieure du pays à la capitale Gabonaise des Séminaires de formation sur le renforcement des capacités des acteurs des médias traditionnels font l'objet de plusieurs rencontre celle qui a eu lieu hier 22 OCTOBRE  concernant le comité de pilotages des Projets E-Gabon. Pour les médias traditionnels, l'enjeux serai de s'accoutumé à des nouvelles perspectives de diffusion de l'information vis à des micro-blogging.

Pour réaliser ce projet de grande envergure, la formation des acteurs de ce domaine de prédilection doit être au rendez-vous.  Aucune réalisation ne c'est faite sans formation. La formation des leadeurs du numérique devrai commencer dans les établissements pour habituer la jeunesse au métiers du numérique.

Par cet investissement sur le numérique le Gabon compte faire plus qu'un pats de géant dans le domaine des NTIC. Se mouvoir en apportant de nouvelles infrastructures et une adéquation entre la profession et les acteurs qui la compose.