L'interculturalité et les réseaux sociaux au Gabon.

 

La diversité culturelle constitue la réponse appropriée à l'aspiration des peuples à se développer dans un environnement où toutes les cultures peuvent s'épanouir. Cette pensée aujourd’hui permettrai de faire connaitre les nombreuses cultures qui existent dans une région. Le Gabon est un pays d’Afrique centrale qui est doté d’une grande richesse culturelle grâce à sa cinquantaine d’ethnies. Depuis la fin des années quatre-vingt, la mondialisation et l’internationalisation entraînent un usage de plus en plus fréquent par les personnes des technologies de l’information (TIC) dans leurs processus de communication ou même pour faire passer une information. Quel serai les conséquences de l’usage des NTIC sur les différentes relations entre les différentes cultures que constitue le Gabon ?

Les enjeux de la diversité culturelle dans l’organisation

Cohen-Emerique (2016) explique ceci : « C’est le choc culturel qui a permis la prise de conscience de sa propre culture. Le heurt avec la culture de l’autre, en ce qui y paraît le plus déroutant et le plus étrange, joue comme révélateur : de sa propre culture intériorisée, et des zones les plus critiques dans la rencontre. Il s’agit d’un choc culturel au niveau individuel, en tant que réaction de dépaysement, d’incompréhension ; plus encore, de frustration ou de rejet, de révolte et d’anxiété – ou au contraire d’étonnement positif voire admiratif chose faite. » Elle explique que le choc culturel est révélateur « … de son propre enracinement culturel. Par cette méthode, la connaissance de l’autre passe d’abord par la connaissance de soi, l’apport d’informations ou le questionnement sur la culture de l’autre ne venant qu’après ». En ce sens, l’utilisations des réseaux sociaux pourrai d’une part avoir des effets positifs sur les relations interculturelles et d’autres part, promouvoir le communautarisme culturel.

Réseaux sociaux et Positivisme interculturel

Comme la plupart des États d'Afrique subsaharienne, le Gabon est un pays multilinguistique. On compte près d'une cinquantaine de langues au Gabon, mais seul le fang, parlé par (32 %) de la population (province de l'Estuaire) constitue une langue importante, et le Punu (22%). Avec des artistes comme Alexis ABESSOLO et son titre d’où l’on vient, et l’artiste Annie Flore avec son clip intitulé Je t’invite ont su mettre en valeur la culture Gabonaise par leurs musiques qui sont disponibles sur des plateformes comme Youtube, Tubidy et autre plateformes. De grandes idées peuvent être transmises d’une culture à une autre par la musique ou un autre art culturel. La danse, le chant, la mythologie et la poésie sont des éléments importants de la vie culturelle au Gabon. L'artisanat traditionnel est une tradition ancienne et se manifeste dans la création de masques (le masque Punu premier masque traditionnel Gabonais.), d'instruments de musique et de sculptures. 

La capitale Gabonaise abritera, du 27 au 29 novembre prochain (2024), les premières journées académiques et culturelles Gabon-Cuba. Une initiative de l'Ecole normale supérieure (ENS), en collaboration avec l'ambassade de Cuba à Libreville et d'autres partenaires, qui fignolent actuellement l'organisation. L'évènement sera marqué par la présence d'une invitée d'honneur, la poétesse afro-cubaine de 80 ans, Nancy Morejon, lauréate de nombreux prix internationaux de littérature et fervente défenseuse des droits de la femme et de l'émancipation de la femme noire. Un moyen de cohésion mise en place par le CTRI pour les amoureux et non amoureux de cultures.

 #Gabon-Cuba.

                                                                                           #E-Gabon

NOVEMBRE NUMERIQUE: Tourner le regard de la jeunesse de l'Afrique centrale vers les bonnes pratiques du digital

 

 

Qu'est serai le réel enjeux du DIGITAL pour la jeunesse de nos pays respectifs ? Est-ce juste de faire passer le rire ou la dépravation des meurs par le digitale ou l'enjeux du digitale serai t-il d'accompagner la compagne électorale comme le font les bloggeurs aux USA?

Le secteur numérique est l’un des secteurs dont la jeunesse africaine notamment celle d’Afrique centrale n’a pas totalement cernée les contours . Il est vrai qu’aujourd’hui des plateformes comme Tiktok , le meta servent à plusieurs jeune et représentent un champ d’opportunités laissant libre recours à l’expression du talent mais aussi de la bêtise juvénile.

Nous ne jugeons pas la jeunesse de ne pas vouloir adopter des bonnes pratiques en matière du digitale. Le problème est que beaucoup font aujourd'hui du marketing digital sans pourtant avoir des bonnes notions permettant de rendre plus plaisant le rendu. 

Oui! Il est vrai que beaucoup de jeunes on prit les avantages de l'outil digitale comme un moyen de se faire connaitre par rapport au domaine qu'ils exercent mais il en résulte des analyses que plusieurs ne vont pas au bout de chaque nouvelle expérience que présente Internet.  Il est rare de voir des jeunes qui veulent améliorer leurs expérience digitale . On se contente juste de ce qui nous intéresse sur la toile. " je suis un peux sauvage " disait l'artiste chanteuse CREOLE. Le nombre de fois que cette parole a été reprise par les followers serai si l'on peux penser ainsi comme une incitation de tous à la dépravation des meurs 

Incité la jeunesse à la culture du numérique c'est d'abord leurs incités à avoir des bonnes pratiques en matière de réseaux sociaux et autres. En d'autres termes, c'est mettre des barrières à ce qui ne fait pas l'Etique de nos sociétés ou de mon environnement

 Le Gabon est aujourd’hui, le 6ème pays le plus performant d’Afrique dans le secteur des TIC et le 1er de la sous-région. Au cœur du Plan Stratégique Gabon Emergent (PSGE), visant à faire du Gabon un leader africain en digitalisation d’ici 2025, le numérique a fait l’objet d’un certain nombre de mesures qui apportent leurs fruits aujourd’hui. Parmi lesquelles la création de l’ARCEP et l’ANINF, la mise à jour des infrastructures dont 1 100 km de fibre optique déployée et un prêt de 110 millions de dollars de la Banque Mondiale, le projet CAB4 financé par la Banque Mondiale et la BAD. De mêmes, les initiatives comme e-Gabon, la SING, et le programme « Train my generation : Gabon 5 000 » ont également vu le jour pour soutenir la transition digitale. Laquelle s’accélère c’est un fait.

#gabon digitale

#moovafricagabon 

#ndambovision

#urbanfm

#gabon24